Intéressant, suite à votre remarque, j'ai essayé de me cultiver et j'ai trouvé des éléments qui vont dans ce sens dans certains ouvrages... mais relativement peu. Cela signifierait-il qu'il y a une sorte de tabou dans le monde scientifique?
Evidemment, chez les femelles, cela est beaucoup plus présent pour manifester les périodes de chaleur... et cela est très connu, d'autant que ça s'inscrit dans une "logique darwinienne" puisqu'un tel comportement est favorable à l'expansion de l'espèce. Mais des mâles, c'est plus difficile à faire entrer cela dans les thèses de Darwin, serait-ce pour cela qu'on en parle peu?